À travers une démarche
féministe postcoloniale, le travail de Lerato Shadi (née en 1979 à Mahikeng, Afrique du Sud, vit et travaille à Berlin) remet en question les hypothèses communes pour critiquer les notions occidentales de l'histoire et rendre visible ce qui est invisible ou négligé.
Travaillant à travers la vidéo, la performance et l'installation, et employant souvent des processus répétitifs, elle défend l'importance de placer au centre – et pas seulement d'inclure – le corps marginalisé comme figure principale de l'expérience narrative.