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Cette section rassemble tous les titres dont les éditeurs ou labels ne font pas l'objet d'une entrée spécifique dans la liste principale de la section éditeurs. La liste complète des éditeurs, labels et revues figure dans l'index général.
Le nouvel opus dans la collection « Mind Travels » constitue
une symbiose pleinement accomplie entre les tonalités industrielles et expérimentales propres à Geins't Naït et les mélodies célestes de Laurent Petitgand, qui affinent et polissent leurs sons pour construire
un récit fascinant, poétique et mélancolique.
Publié à l'occasion des quarante ans de la galerie Chantal Crousel, cet
ouvrage fleuve (plus de 700 pages et 3 kg) revient sur l'histoire de la galerie,
considérée comme un acteur majeur de la scène artistique contemporaine, en
France comme à l’international.
Versions stéréophoniques à partir des enregistrements et mixages des quatre installations sonores réalisées in situ entre 2005 et 2016 (avec Jean-Luc Guionnet, Arnau Horta, Seijiro Murayama et Michaële-Andréa Schatt).
Chacun des récits qui forment l'ensemble Manière noir a pour point de départ une locution qu'il s'agit de prendre au pied de la lettre, dans son sens littéral. L'écriture en développe alors les potentialités poétiques et imaginaires, suivant un cours aussi hasardeux que fatal.
Première édition vinyle de l'album de Frank Bretschneider et Taylor Deupree initialement paru en 2002 sur Mille Plateaux en CD uniquement : la quintessence de l'esthétique de la scène Click & Cuts et ambient / glitch de la fin des années 1990 et du début des années 2000.
Giuseppe Ielasi expérimente pour la série MMXX avec des éléments rythmiques énergiques et imprévisibles, des sonorités bourdonnantes et des environnements inhabituels.
Initialement paru sur le label Round Records du Grateful Dead en 1975, Seastones de Ned Lagin est une composition électronique pionnière qui entrelace des métaphores sur la nature, la science, l'art et les origines de la musique.
Le troisième album solo de la musicienne et artiste sonore japonaise basée à Paris, enregistré dans un ancien réservoir d'eau à Berlin, un bâtiment du XIXe à l'architecture et à l'acoustique singulière, où Tomoko Sauvage a expérimenté des potentialités inédites du système de « synthétiseur naturel » qu'elle développe en combinant eau, hydrophones et bols en verre ou en céramique.
La série d'images collées par le photographe italien Alessio Bolzoni sur vingt-six panneaux d'affichage dans seize endroits différents de la ville de Milan, des photographies de corps en tension réalisées en studio qui font écho aux provocations de l'art de la performance, interrogent les dimensions symboliques du corps et constituent une tentative de réappropriation de l'espace urbain.
Assorti de la parole de contributions invitées, ce catalogue propose, à partir des œuvres des deux artistes néerlandais Nicky Assmann et Jan Robert Leegte, de revisiter le thème de la nature à l'heure où sciences et technologies sont capables d'en retranscrire les phénomènes.
Le manifeste du groupe Alter Architecture Research Collective (contributions de Andreas Rumpfhuber, Tiqqun, Mariapaola Michelotto, Giorgio Agamben et Julian Siravo).
Entonnoir de Nous : une machine comprend plus ou moins les paroles de deux êtres humains sur plusieurs années et écrit un recueil de poésie à son propre insu.
Une pièce composée par Phill Niblock, interprétée live par l'Ensemble IRE trio : Kasper T. Toeplitz (basse), Franck Vigroux (guitare), Hélène Breschand (harpe électronique) en face A / une pièce composée et interprétée par Kasper T.Toeplitz (basse) et Franck Vigroux (guitare, électronique) en face B.
Ouvrage produit en regard de la série éponyme de projections du collectif d'artistes Bauer Verlag au Studio/Cinema de Brooklyn, avec quelque 25 contributions.
Première édition monographique de Stéphane Vigny, pensée comme un objet à plusieurs entrées de lecture (la musique, l'architecture, le design, le cinéma ou encore l'érotisme), tout comme le sont les sculptures de l'artiste (avec des textes de Jean-Michel Espitallier, Charles Pennequin et un entretien).
Un voyage photographique à la fois documentaire et sensoriel au centre du monstre de glace Aletsch, le plus grand glacier d'Europe (une série de photographies passées en négatif, avec quatre textes d'auteur·e·s interdisciplinaires sur le glacier : le glaciologue Jean-Baptiste Bosson, les historiens d'art Federica Martini et Joël Vacheron et l'écrivain-chercheur André Ourednik).
Un vaste panorama des recherches plastiques menées par Thomas Canto ces dix dernières années, entre dessin géométrique, sculpture et architecture, avec de nombreux textes de spécialistes et une série de conversations entre l'artiste et Carlos Cruz-Diez, Michael Scott et Xavier Veilhan.
Un village, des habitants, neuf personnages, des enfants, une forêt. Trois saisons : l'hiver, le confinement et le printemps. Bruissons est le récit d'un voyage immobile légèrement perturbé. Une exposition – des images, du sonore. Et un livre.
La chronique d'une sidération, écrite au jour le jour depuis le début du confinement pour en saisir les formes et conséquences, accompagnée d'une contribution textuelle de Julien Coupat et alii.
Six films autour de six expositions de Cécile Bart, plus proches de l'esthétique du film d'artiste que du documentaire, qui introduisent le spectateur dans la proximité des œuvres.
Ce numéro de Flash Art inaugure une nouvelle identité graphique, un nouveau format avec un nombre de pages doublé et de nouvelles rubriques, ainsi qu'un calendrier devenant saisonnier. Le numéro explore l'hybridation dynamique des langages de l'art contemporain autour du thème du processus curatorial.
Refusant de laisser à la seule technique le soin de déterminer notre rapport à l'aventure spatiale, le 19e numéro d'Espace(s) a engagé ses contributeurs, et engage à présent ses lecteurs, à se lancer dans le Grand Jeu de l'Espace.
Quentin Rollet pose son mini-synthétiseur à bandes et ses saxophones sur des pistes de batterie enregistrées par Kim Giani en 2015, c'est-à-dire dans le monde d'avant le confinement. Un projet plein d'humour et porteur d'énergie, réalisé dans une période d'ennui planétaire.
Une étude visant à remettre en perspective et réaffirmer la paternité du readymade God de Morton L. Schamberg (1917), considéré comme la réponse à l'œuvre sœur de Marcel Duchamp Fontaine, à partir d'un examen de l'ensemble des documents disponibles.
Livre d'artiste rassemblant une collection d'idées, de notes, d'instructions et de dessins enregistrés dans (et réalisés sur) le téléphone de Flaviu Cacoveanu, qu'il nomme « finger paintings » et qui constituent une approche idéalisée de son environnement.
Première monographie de l'artiste canadienne, qui parvient à renouveler avec puissance et originalité les représentations du désir humain en un tour de force pictural (catalogue de l'exposition au MOCO Panacée, Montpellier).
Le manifeste électronique d'Automatisme (William Jourdain) inspiré par la notion d'« altermodernisme » telle que définie par Nicolas Bourriaud, appliquée aux arts sonores, et par le concept de déterritorialisation dans la pensée de Gilles Deleuze, structurant les deux parties de l'album (l'une rythmique, dans la veine des déstructurations temporelles de SND, l'autre ambient), dans une tension entre le chaos et l'ordre.
À partir d'une riche iconographie, souvent inédite, La base spatiale d'Hammaguir propose de revivre les débuts de l'aventure spatiale française dans les années d'après-guerre.
Monographie de référence, retraçant les recherches de Marcos Lutyens sur les dix dernières années, avec deux essais et des notices détaillées pour chaque projet.
L'œuvre la plus radicale de Frank Bretschneider : une composition autogénérée pour modules de synthétiseur dont la seule source sonore est le mouvement de deux aiguilles de VU-mètre. Les sons percussifs qui en résultent se fondent en combinaisons rythmiques, toutes aléatoires et sans répétition. Une méditation sur la variation rythmique infinie.