PROLOGUE Le cas Hartung
I - Une réception faussée : « père de l'abstraction lyrique »
Les années après-guerre à Paris : mise au carreau
Le mythe de la spontanéité
Un secret d'atelier
Un lyrisme critique
Du lyrisme allemand
Du nationalisme excessif à l'ouverture des frontières
Kandinsky (Lyrisme, 1911) : déni d'influence
Une conception nietzschéenne de la création
II – Réception, influence, réminiscence : vers l'abstraction
L'expressionnisme allemand : une influence avouée
Jeunesse à Dresde
Œuvres des années vingt : abstraction ? figuration ?
La découverte de la peinture française : « ordre et clarté »
1926 : l'Exposition d'Art International
1935 : installation à Paris
Le temps à l'œuvre
« L'art de la tache » contre le tachisme
Un acte de mémoire
III – Une réception critique : le geste en question
La faillite du lyrisme
Les affichistes ou « le lyrisme à la sauvette »
Les Méta-matics : un faux expressionnisme pictural
La XXXe Biennale de Venise : une pernicieuse consécration
Lacération et corporéité
Geste et pulsion
Dépassement du tableau :
Lucio Fontana,
Günter Brus,
Gina Pane
« Art et décoration » : cote maximale, réception zéro
Le geste et/ou le signe
Processus de production
Indices et icônes
IV – Une réception rétroactive : de l'abstraction à la post-abstraction
Les États-Unis : un rendez-vous manqué
Museum of Living Art
Le réseau des galeries
1975 : l'exposition au Metropolitan Museum of Art
Le mythe du précurseur
Abstraction (s)
Abstraction et humanisme
Abstraction et vitalisme
La machine à peindre
Les œuvres ultimes (1986-1989)
Un art du détachement
Conclusion : Hartung, un artiste des sixties ?