Le premier recueil des écrits de l'artiste coréenne basée en France, de ses entretiens (avec Jacques Derrida, Jean-Luc Nancy, Nam June Paik, Jean-Pierre Cometti...) et d'essais sur son travail.

Une rétrospective (édition anglaise).

Une double-création à quatre mains, surprenante, intelligente et sensible, entre expérimentations minimales, pop d'avant-garde et dissonance.

Le label Black Truffle poursuit sa précieuse documentation sur le travail de la chanteuse italienne basée à Berlin Amelia Cuni, l'une des grandes représentantes contemporaines du Dhrupad, le plus ancien style de musique vocale classique d'Inde du Nord encore existant, avec trois longs ragas magnifiquement enregistrés en concert à Bombay en 1996.

Frédéric Acquaviva, en Mozart de la cour d'assises, s'interroge, avec ce seul exemple connu d'art sonore judiciaire, sur la justice et son fonctionnement, mais surtout insiste sur la fragile barrière qui sépare les criminels des honnêtes compositeurs.

Une anthologie de morceaux de silence issus de l'histoire du disque (Andy Warhol, Sonic Youth, Yoko Ono, John Lennon, Whitehouse, Yves Klein, Sly and Family Stone, etc.) – des morceaux de silence conçus, produits et enregistrés spécifiquement pour le support disque et sa nature reproductible, révélant ainsi sa matérialité à l'état nu.

Un album poétique et « environnemental » (au sens le plus large du terme), mêlant instrumentation délicate et voix parlée.

Un album poétique et « environnemental » (au sens le plus large du terme), mêlant instrumentation délicate et voix parlée.

La réédition du troisième album du compositeur américain de gamelan Daniel Schmidt.

Un véritable manuel pratique d'écoute de la musique improvisée, s'appuyant sur plus de trois décennies d'écriture, de production, de pratique, d'enseignement et d'étude de l'improvisation libre.

Un disque réunissant deux compositions inédites complémentaires, une œuvre conceptuelle, processuelle et hypnotique d'Alvin Lucier et Jordan Dykstra et une pièce pour ensemble (violoncelle, violon, alto et deux percussions) de Jordan Dykstra.

Thomas Bonvalet déploie tout l'instrumentarium de son projet L'ocelle mare (guitares, banjo, tambourins, piano, flûtes, mais aussi percussions corporelles, métronomes, interrupteurs, scotch de peintre, téléphone, microphones, table de mixage, amplis, etc.) pour créer une véritable poétique de l'objet, dévoilant la matérialité des instruments en tant qu'objets en même temps que la musicalité des objets en tant qu'instruments.

Thomas Bonvalet déploie tout l'instrumentarium de son projet L'ocelle mare (guitares, banjo, tambourins, piano, flûtes, mais aussi percussions corporelles, métronomes, interrupteurs, scotch de peintre, téléphone, microphones, table de mixage, amplis, etc.) pour créer une véritable poétique de l'objet, dévoilant la matérialité des instruments en tant qu'objets en même temps que la musicalité des objets en tant qu'instruments.

Les Four Pianos (1979-80) de Julius Eastman, interprétés par Melaine Dalibert, Stephane Ginsburgh, Nicols Horvath et Wilhem Latchoumia.

Une composition en deux parties qui associe deux dimensions antagonistes et complémentaires : un texte de données lu par l'artiste ORLAN et un orchestre virtuel composé de quatre chanteurs (Loré Lixenberg, Joan La Barbara, Wills Morgan et Jacques Lizène) et de 124 instruments différents.

Steve Roden, pionnier de la musique « lowercase », utilise de minuscules objets « pauvres » comme des sifflets en étain, des boîtes à musique et des harmonicas jouets pour rendre un hommage évocateur à l'architecte et peintre grec Dimitris Pikionis avec une pièce sonore méditative, bruissante, vibrante et comme en suspension, à la fois « environnementale » et particulièrement musicale.

Réédition d'un jalon de la musique ambient, produit et publié par Brian Eno en 1978, avec Marion Brown, Gavin Bryars et Michael Nyman.

Une galerie de portraits de personnes en situation d'écoute d'une œuvre de Frédéric Acquaviva en cours d'élaboration, mis en page à la manière d'un flip book.

Réédition d'un jalon de la musique ambient, produit et publié par Brian Eno en 1978, avec Marion Brown, Gavin Bryars et Michael Nyman.

Le premier livre en français consacré au compositeur et musicien Julius Eastman : un ensemble d'essais biographiques et musicaux, édité par Mary Jane Leach et Renee Levine Packer, dressant un portrait fascinant d'une figure emblématique de l'histoire des avant-gardes américaines.

Le premier disque vinyle de la pionnière de l'avant-garde Fluxus (édition remasterisée à partir des bandes originales, avec un livret de 20 pages).

Deux pièces basées sur le texte canonique Aktual University de Milan Knízak, datant de 1967, contenant dix courtes conférences qui décrivent le caractère de l'université idéale – sur les conflits, les rêves, les révolutions, l'amour, la croyance, l'art, etc. Ces conférences devaient servir d'inspiration pour les cours, séminaires et discussions organisés dans l'université.

Un escalier ruisselle, non pas d'eau mais de sons : livre / CD consacré à l'impressionnant « dessin sonore » de Fritz Hauser pour la Fondation Vincent van Gogh à Arles.

Trois pièces pour speaking pianist du musicien d'avant-garde américain, compositeur engagé et pianiste virtuose Frederic Rzewski (1938-2021), interprétées par Stephane Ginsburgh (pour qui deux des pièces ont été composées).

Un essai sur la crise climatique et une ode à la jeunesse par l'écrivain et poète italien engagé Erri De Luca.

La troisième collaboration entre Félicia Atkinson et Jefre Cantu-Ledesma – leur premier album réalisé ensemble dans le même studio : un dialogue électroacoustique, poétique, fluide et sensible entre les deux expérimentateurs.

La soprano belge Sarah Defrise dédie son premier album de musique nouvelle à la mezzo-soprano américaine Cathy Berberian, en proposant exclusivement des pièces a capella écrites pour Berberian par certains des plus grands compositeurs de son temps.

Une performance magistrale et lumineuse de la grande vocaliste Dhrupad Amelia Cuni, accompagnée par le célèbre joueur de vina Gianni Ricchizzi et Helmut Waibl aux percussions.

Tentant d'explorer les aspects transdisciplinaires de la pratique artistique, cet ouvrage revient sur un point de bascule de l'histoire de l'art : l'invention de formes d'art préconceptuelles et minimales par George Brecht, à la fois ingénieur chimiste et artiste.

Les Four Pianos (1979-80) de Julius Eastman, interprétés par Melaine Dalibert, Stephane Ginsburgh, Nicols Horvath et Wilhem Latchoumia.

Une interprétation électronique des œuvres de Phill Niblock par l'ensemble tchèque Opening Performance Orchestra.

Sylvère Lotringer qui, dans les années 1970, importa aux États-Unis la French Theory avec Semiotext(e), retrace son parcours au fil de conversations avec Donatien Grau.

Deux concerts improvisés où se tissent entre le piano et le saxophone des jeux subtils de textures harmoniques, d'apparitions de sons différentiels, de résonances et parfois de quelques séquences plus bruitistes.

Remasterisé par Rashad Becker pour cette édition vinyle, Echo révèle une suite aquarelliste de subtiles touches instrumentales et électroniques, de voix et d'enregistrements de terrain.

Un recueil d'essais, de livrets, de paroles, de souvenirs, de photographies, d'anecdotes personnelles par des musiciens, des artistes visuels, des chercheurs et des archivistes rendant hommage à l'œuvre et à la vie du compositeur, musicien, interprète et militant afro-américain Julius Eastman.

Une pièce majeure et longtemps oubliée du minimalisme américain, composée en 1974, dense et hypnotique, interprétée par l'Ensemble 0.

Un ouvrage monumental compilant la documentation iconographique ayant servi au développement des projets visuels de Christian Marclay au cours des dernières années. Près de 600 photocopies noir et blanc de collages d'images trouvées, mises en page avec l'aide du graphiste Laurent Benner.

Un split LP rassemblant deux performances sonores expérimentales complémentaires.

Compositions et improvisations épistolaires, pour rappeler la disparition de l'écrivain François Augiéras il y a 50 ans. Une interprétation de « Domme, ou l'essai d'occupation ».

Sonoris publie en vinyle et en CD, avec un nouveau mastering de Giuseppe Ielasi, quelques œuvres importantes de l'artiste influent et respecté qu'est Steve Roden. Ces titres, qui mêlent composition conceptuelle et musicalité, transcendent les catégories ambient ou « lowercase » trop rapidement appliquées à sa musique, grâce à leur beauté fantomatique.

Sonoris publie en vinyle et en CD, avec un nouveau mastering de Giuseppe Ielasi, quelques œuvres importantes de l'artiste influent et respecté qu'est Steve Roden. Ces titres, qui mêlent composition conceptuelle et musicalité, transcendent les catégories ambient ou « lowercase » trop rapidement appliquées à sa musique, grâce à leur beauté fantomatique.

Un hommage à William S. Burroughs.

Un hommage à William S. Burroughs.

Publié à l'occasion des quarante ans de la galerie Chantal Crousel, cet ouvrage fleuve (plus de 700 pages et 3 kg) revient sur l'histoire de la galerie, considérée comme un acteur majeur de la scène artistique contemporaine, en France comme à l’international.

A la différence des précédentes éditions de Gerhard Rühm publiées par Tochnit Aleph, centrées sur sa poésie phonétique et ses pièces radiophoniques, les œuvres rassemblées sur ce vinyle sont plus conceptuelles ou même actionnistes, la plupart réalisées entre 1962 et 1987.

Double CD rassemblant cinq pièces essentielles de Marcus Schmickler composées et enegistrées entre 2006 et 2016 : Richters Patterns (en collaboration avec Gerhard Richter, 2016), Kemp Echoes (2013), E-UROPAS (2006), Fokker Bifurcations (2014) et Ata Oto (2016).

Le saxophoniste expérimental Ulrich Krieger propose une expérience physique et sensuelle de la densité des ondes sonores (pièces de Alvin Lucier, Phill Niblock, John Cage, John Duncan, James Tenney, Terry Riley, Lee Ranaldo, Philip Glass, Steve Reich, Boris Hegenbart, Ulrich Krieger, Zbigniew Karkowsk).

Catalogue de l'exposition rétrospective de Soun-Gui Kim au musée national d'art contemporain de Corée du sud : un panorama de son travail depuis la fin des années 1960.

Le nouvel album de Frédéric Acquaviva – une pochette de disque avec QR Code mais sans disque, limité à 100 copies : un opéra de 69 minutes pour voix (avec Joël Hubaut, auteur du texte, Dorothy Iannone et Loré Lixenberg), « dead electronics » et vidéo.