Cette publication documente les recherches menées dans le
cadre du projet de l'artiste pour le pavillon danois de la 58e Biennale de
Venise : un récit de science-fiction
se déroulant après une catastrophe écologique,
évoluant vers un dialogue intime sur la mémoire, l'exil
et la nostalgie.
Publié à l'occasion de l'exposition éponyme au Pavillon danois, 58e Exposition internationale d'arts visuels – La Biennale di Venezia, du 11 mai au 24 novembre 2019.
Editée par Anthony Downey, la collection « Research/Practice » est
dédiée à la recherche artistique et à la manière dont elle contribue à la
formation de systèmes de connaissances expérimentaux. S'appuyant sur des
documents préliminaires tels que des journaux intimes, des carnets de notes,
du contenu audiovisuel et numérique, des communications informelles et des
ébauches de projets, la collection examine les méthodes de recherche
interdisciplinaires que les artistes utilisent dans leurs pratiques au
quotidien. Chaque publication aura pour objectif de se demander quelles sont
les formes de savoirs produites par les artistes.
L'artiste palestinienne Larissa Sansour (née en 1973 à Jérusalem-Est, vit
et travaille à Londres) a étudié les beaux-arts à Copenhague, Londres et
New York. Son œuvre transdisciplinaire mobilise la vidéo,
la photographie,
l'installation et la sculpture.
Elle a représenté le Danemark à la 58e Biennale de Venise, et a présenté
des expositions individuelles au New Art Exchange de Nottingham, au
Nikolaj Kunst à Copenhague, au Turku Art Museum en Finlande et au DEPO à
Istanbul. Son travail a été exposé aux biennales d'Istanbul, de Busan et
de Liverpool. à la triennale de Guangzhou,, à la Tate Modern, au Centre
Pompidou, Paris, à LOOP, Séoul, au Barbican, Londres et à la Haus
der Kulturen der Welt, Berlin.