Un dialogue entre des œuvres séminales de l'artiste britannique et du collectif danois, combinant histoire de la technologie et du travail et histoire de l'art (avec un ensemble de contributions de philosophes et d'historiens de l'architecture et des médias).
Publié à l'occasion de l'exposition éponyme à Thyssen-Bornemisza Art Contemporary, Augarten, en 2012.
Artiste conceptuel, Simon Starling (né en 1967 à Epsom, Angleterre, vit et travaille à Copenhague et à Berlin) est considéré comme l'un des artistes britanniques les plus audacieux de la scène internationale. Son travail, basé sur une recherche et une (auto-)expérimentation intensives, marqué par un intérêt pour les questions environnementales et pour l'Histoire, notamment l'histoire des sciences et des technologies, prend la forme d'installations complexes constituées de dispositifs techniques, de films, de photographies, d'objets, de performances et de publications.
Simon Starling est le lauréat du Turner Prize 2005.
Superflex est un collectif d'artistes / designers / activistes fondé en 1993 par Jakob Fenger, Rasmus Nielsen et Bjørnstjerne Christiansen à Copenhague. Ils décrivent leurs projets comme des « outils », modèles ou propositions réutilisables et modifiables, permettant d'intervenir et d'agir dans le réel, contre les différentes formes de pouvoir, de persuasion et de répression.