1957-1968 1. « FAIRE DU NOUVEAU , [… ] FAIRE DU NEUF »
1.1 Du « caractère réformateur et agressif d'une œuvre d'art »
1.2 Mais de qui se moque-t-on ?... et se moque-t-on vraiment ?
1.3 Entre exaltation et désaveu, Raysse, triomphateur de la société de consommation
1.4 L'œuvre comme « école de pensée », la peinture comme « école de liberté », ou le « désir de modernité par l'actualisation » de Martial Raysse
1.5 Raysse, ou « la tentation d'hybrider la peinture par le cinéma », par la photographie, par la sculpture… par la vie
1968-1973 2. DÉFAIRE ?
2.1 « Martial Raysse abandonne le milieu de la peinture. “On n'y trouve plus que des ânes” »
2.2 « Il va se renouveler [… ]. Il trouvera d'autres moyens de s'exprimer » (
Marcel Duchamp, 1966)
1973-20… 3. « MIEUX FAIRE »
3.1 « Martial retourne à la peinture »
3.2 Oh mais c'est compliqué Monsieur Martial ! (« il existe toujours un savoir supérieur qu'il est bénéfique de connaître »)
3.3 « Saint patron des étincelles », Bacchus ?
3.4 « Faire ami avec le balai, ami avec l'étagère »… « Martial Raysse est de ceux qui placent aujourd'hui au plus haut l'ambition de la peinture. Elle détermine tout son parcours »
3.5 Rendre « compte de la totalité du réel – ce serait l'idéal, une peinture qui apprendrait quelque chose » (le peintre historien est le seul peintre de l'âme, les autres ne peignent que pour les yeux)
3.6 Un monde où « Bouddha n'exclut ni Bacchus ni le paradis biblique », « une avalanche de signes [… ] propre à laisser le spectateur médusé, et ses idées bien peu en place »
3.7 Quand la prise du maquis mène à des « fantasmes dignes de Bosch et de Goya »
3.8 Retour vers le futur : les années 2000 de « Monsieur Raysse »
CONCLUSION
POSTFACE : « LA PEINTURE CLASSIQUE, LA VRAIE PEINTURE »
« La peinture, c'est du plaisir »
« L'attrait de Martial Raysse pour une certaine peinture classique ne date pas d'hier »
ANNEXES
Notes
Index des œuvres de Martial Raysse citées, évoquées et reproduites
Crédits photographiques