Faisant suite à La Relation comme forme – L'interactivité en art, ce second volume des écrits de Jean-Louis Boissier s'attache à l'analyse technique et esthétique des devenirs de l'écran.

Un panorama de la carrière de Bruhin qui met en avant sa pratique manuelle et numérique du dessin – notamment les séries Pixel-Bildli et Hice for Weiss – ainsi que ses mosaïques. Un catalogue introductif qui permet également d'éclairer les stratégies à l'œuvre chez Bruhin. Avec un avant-propos de Salvatore Lacagnina, un texte d'Arthur Fink et un entretien avec l'artiste.

Une sélection des œuvres diagrammatiques produites depuis 1994 par Ricardo Basbaum : pièces autonomes ou éléments d'installations, ces diagrammes constituent pour l'artiste des outils d'intervention et des poèmes visuels qui matérialisent le lien dynamique entre les espaces littéraire et plastique.

Cet ouvrage est le prolongement textuel d'un projet artistique et performatif conçu par l'artiste Raphaële Bidault-Waddington et le critique Sylvain Menétrey. Mi-néologisme poétique, mi-concept scientifique, le sémiospace apparait comme une création langagière reflétant la pratique de Raphaële Bidault-Waddington, créatrice d'objets hybrides, à la fois modèles cognitifs empruntés à la science et fictions exubérantes.

Première monographie consacrée à l'artiste plasticien et réalisateur Martin Le Chevallier, permettant de découvrir l'ensemble de sa production : films, interventions in situ, pièces interactives, performances et processus (introduction de Jean-Marc Huitorel).

Publication monographique proposant une évocation à plusieurs voix de l'œuvre de l'artiste new-yorkais à travers un ensemble textuel littéraire et poétique.

Livre d'artiste documentant les conditions atmosphériques autour du pavillon allemand de la 56e Biennale de Venise. Le relevé météorologique a été réalisé grâce à une station installée sur le toit du pavillon, transformé pour l'occasion en lieu performatif et espace d'installation. L'ouvrage comprend également un ensemble de cartes décrivant différentes conditions venteuses auxquelles ont été confrontés les artistes (édition limitée, numérotée et signée).

Au sommaire du numéro d'octobre : reportage sur l'artiste Lillian Schwartz, portfolio de Carmen Herrera, William Kentridge par Homi K. Bahba, Julie Becker par Chris Kraus, la nouvelle publication posthume de Donald Judd, le « Top Ten » de Nikolas Gambaroff et le compte-rendu des expositions à New York, Brescia, Dublin, Beyrouth, Sydney…

Fully Fueled offre une mise en relief du quotidien aux Émirats arabes unis à travers l'automobile. Entre 2012 et 2014, Basile Mookherjee a photographié la vie nocturne et les événements nationaux à Dubaï et Abu Dhabi, révélant l'importance de la voiture comme marqueur de classe et élément de séduction dans l'espace social émirati. Son travail souligne également l'ambiguïté des rapports symboliques entre l'Orient et l'Occident.

Première monographie rétrospective d'Élodie Lesourd, qui construit depuis plus de dix ans une œuvre marquée par la culture rock et une approche conceptuelle de la peinture hyperréaliste.

Jordan Wolfson, Ari Marcopoulos, Kahlil Joseph et Deana Lawson, Pierre Paulin, entretien avec Nhu Duong, contributions de Darja Bajagić, Georgi et Ketuta Alexi-Meskhishvili, Korakrit Arunanondchai, Julie Verhoeven, dossier « Disorientalism » sur la construction d'une nouvelle esthétique moyen-orientale, composé d'entretiens avec Sophia Al-Maria et Meriem Bennani, de deux essais, d'une étude de cas et d'une table ronde, Christopher Williams, Jasper Spicero, l'Army of Love de Alexa Karolinski et Ingo Niermann, hommage à Alan Vega…

Monographie de référence : la chronique illustrée de l'itinéraire personnel et esthétique de l'artiste brésilienne Maria Bonomi, précurseur dans le domaine de la gravure abstraite sur bois, à partir d'une étude minutieuse des rapports qui concilient ses discours et ses pratiques.

Monographie de référence : la chronique illustrée de l'itinéraire personnel et esthétique de l'artiste brésilienne Maria Bonomi à partir d'une étude minutieuse des rapports qui concilient ses discours et ses pratiques, accompagnée d'une xylographie originale, numérotée et signée, intitulée La clé.

Première monographie consacrée au travail d'un artiste influent et néanmoins méconnu. Constituant une introduction complète à l'approche « brutaliste » du sculpteur polonais, l'ouvrage propose une riche iconographie, complétée d'un entretien de Stańczak avec Zuzanna Hadrys et Michał Lasota, et d'essais de Jan Verwoert, Zofia Krawiec et Łukasz Ronduda.

En s'attachant à la figure de Mnémosyne, cet essai réfléchit le lien entre pensée, lieux et images et ce qu'en révèlent les arts de la mémoire, de l'Antiquité aux paysages numériques, de Giordano Bruno, Leibniz, Benjamin à Aby Warburg.

Samson Young, essais de Hendrik Folkerts, Michael Taussig, Benjamin Thorel et Tim Griffin, Rayyane Tabet en conversation avec Haegue Yang, Laura McLean-Ferris sur l'empathie et l'acte de confession, table-ronde autour de la conception matérialiste de l'histoire des expositions, Kishio Suga par Stuart Munro, une évocation du lien entre les fleurs et l'art par Andrew Berardini, la créativité artificielle par John Menick, Lawrence Lek et Cécile B. Evans, Kasper Bosmans…

Signature Strengths rassemble les quatre ouvrages de la série « No Frills », une collection de livres de genre inspirée par le graphisme minimaliste d'une marque de supermarché. Une expérience graphique radicale mise en contexte par un ensemble de notices critiques sur la littérature de genre et l'industrie du livre de masse.

Daniela Comani met en scène un ensemble de photographies de téléviseurs éteints : une démarche minimaliste qui relève d'une réflexion sémiologique originale sur le médium ainsi que d'un intérêt pour la télévision en tant qu'objet de design.

Première monographie d'envergure (un large aperçu d'une œuvre proliférante et inclassable, qui place la répétition au cœur même de la création), sous la forme d'une traversée de la peinture contemporaine.

Jon Rafman par Bret Schneider, une histoire de l'art et de la machine par Anthony Huberman, retour sur Meat Joy avec Carolee Schneemann et Vincent Honoré, Arnold Rüdlinger par Lorenzo Benedetti, une contribution spéciale de Guan Xiao, entretiens avec Ian Cheng, Athena Papadopoulos, Cayetano Ferrer, Emmanuelle Lainé, Davide Balula par Daniel S. Palmer, le Centre for Style de Matthew Linde, Pilvi Takala…

Recueil réunissant six cent cinquante-sept « définitions/méthodes », le protocole pictural au fondement de l'œuvre de Claude Rutault et source d'une nouvelle forme textuelle.

Dirty Ear Report rend compte des activités du Dirty Ear Forum, une plate-forme d'étude sur l'art sonore et ses différentes approches théoriques et pratiques. Prenant appui sur les recherches menées lors de la première édition au Errant Bodies Project Space à Berlin, ce premier numéro pose les bases d'une réflexion sur l'écoute comme socle d'un nouvel activisme culturel et plus particulièrement sur le son en tant qu'objet social.

Ce numéro documente la seconde édition du Dirty Ear Forum, organisée à la Bergen Academy of Art and Design en Norvège, et consacrée à la problématique du son en tant qu'élément central d'un nouveau paradigme discursif. Les participants explorent plus particulièrement les thèmes de l'altérité et de la matérialité, définissant le son comme une force de la multiplicité.

Inauguration de la nouvelle formule du cahier de l'Observatoire de l'espace : désormais biannuel, la ligne éditoriale d'Espace(s) a été enrichie et son allure totalement refondée. Sur le thème « Traces et résidus », ce numéro explore les potentialités de l'archive comme un matériel d'écriture pour de nouveaux récits, qu'ils soient plastiques ou littéraires.

Ce volume de référence présente une chronologie non-exhaustive de la législation suisse – et notamment zurichoise – en matière d'architecture, mettant en évidence une série de décisions juridiques controversées et les stratégies d'influences qui ont servi à leur mise en place.

Une relecture de Walter Benjamin par François Coadou, la suite de la collaboration entre François Deck et Raphaèle Jeune, un abécédaire nécrologique du rock par Pierre Beloüin, le calendrier des révoltes 2016 par Matthieu Saladin, la déprogrammation hypnotique de Genesis P-Orridge et Timothy Leary, La jetée de Chris Marker, Salvage Art Institute, Arnaud Labelle-Rojoux, le label CrammedDiscs, de nombreux entretiens avec Jean-Luc Verna, Jill Gasparina, Ange Leccia, Carole Douillard et Dora García…

Entretiens avec Ellen Fullman et Anne Dreyfus, section « Reflexio » avec Philip Best et Jedediah Sklower, l'actualité des labels québécois Ambiances Magnétiques, Collection QB et Kohlenstoff Records, Lionel Malric présente son nouveau projet Jiéqì, « Le matériau, les sons, ce que l'on invente et les choses que l'on trouve » par Kasper Toeplitz, chroniques de disques, rubriques habituelles...

Robert Suermondt / Denis Pondruel / SAM (Myung-Ok Han, Oan Kim, Peter Kim) / Très Traits (Silvia Bächli, Isabelle Cornaro, Adrian Ghenie, Andreas Gursky, Eugène Leroy, Roy Lichtenstein, Christopher Wool).

Berger&Berger, Anne-Lise Coste, Matias Faldbakken, Hans-Peter Feldmann, Thomas Hirschhorn, Jakob+Macfarlane, Nathalie Du Pasquier, Denis Savary, Alan Vega, collection Jean-Hubert Martin...

Un panorama précis de l'œuvre d'Asger Jorn, servi par un appareil iconographique riche de 75 reproductions annotées, de photographies et de documents d'archives, complété par une biographie exhaustive du membre fondateur de CoBrA et de l'Internationale situationniste.

Regards croisés – philosophie, cinéma, médias, architecture, design – sur ce qui fait écran aujourd'hui et sur ce que les écrans font en retour sur nos vies.

Dominique Gonzalez-Foerster, Jim Shaw, Alex Israel / Bret Easton Ellis, Christian Rosa, Lili Reynaud Dewar, Sarah Lucas, Ugo Rondinone, Diana Thater, Christian Rosa, Matali Crasset, Dyvik Kahlen Architects, Melike Kara, Roberto Cuoghi, Rachel Harrison, Kate Burkhart, Isa Genzken par Tobias Madison, Vanessa Place, retour sur le projet de rénovation des Halles par Patrick Berger et Jacques Anziutti…

Numéro dédié à l'art numérique, depuis le « Net Art » des années 1990 jusqu'aux artistes « post-internet » actuels. Avec les portraits de Guan Xiao et Hilary Lloyd et les contributions de Peter Weibel, Julia Stoschek, Brian Holmes, Ben Vickers et Sarah Thornton.

Une proposition chorégraphique qui prend la forme d'un livre : le danseur et chorégraphe rend compte des différents rapports au mouvement dans la danse, en s'appuyant autant sur des performances classiques et contemporaines que sur des concepts empruntés aux philosophes, linguistes ou théoriciens de l'art.

Le guide de l'exposition éponyme formant le noyau dur de l'édition 2016 de la triennale des 50JPG – 50 Jours pour la photographie à Genève, accompagné des deux livres d'artiste publiés à l'occasion, Giacomo Bianchetti – Bilderberg 2015 et Sébastien Reuzé – Indian Springs (offre groupée).

Livre d'artiste composé de collages réalisés à partir de publications d'époque : un travail centré sur les relations entre l'abstrait et le figuratif, la nuance et les techniques d'impression, pour un résultat s'apparentant à une archive documentaire futuriste.

Un recueil de récits et de textes théoriques interrogeant les modalités d'existence de l'œuvre d'art, en prenant pour point de départ une collection de reliques d'œuvres.

Compilation d'œuvres musicales produites dans les années 1970 par l'artiste pluridisciplinaire canadien.

Enregistrements de performances musicales réalisées par Blondes, James Campbell et I.U.D à l'occasion d'une exposition de peintures de Wade Guyton à la Kunsthalle Zürich en 2013. Ce catalogue sonore composé de 4 vinyles contient également une reproduction modelisée des tableaux ayant inspirés les musiciens.

Kerry James Marshall, Jean-Luc Moulène, Dora Budor, Samson Young, Dean Blunt, l'hommage de Matthew Lutz-Kinoy et de Tobias Madison à Shūji Terayama, Rodolfo Aricò, un essai d'Emily Segal sur la couleur magenta, comptes-rendus d'expositions…

Une compilation de conversations menées par Céline Ahond, en collaboration avec Lidwine Prolonge, mettant en perspective ses années d'études et dessinant en creux son terrain artistique.

Une vue d'ensemble des travaux de Camille Laurelli, artiste aux œuvres humoristiques et provocantes employant un large éventail de médias et de supports, parfois incongrus : photographies, dessins au stylo et au feutre, imprimés, captures d'écran, textes critiques commandés à sa mère ou à une critique d'art fictive, vidéos virales, ready-made, commentaires sur internet, objets trouvés…

Notebook 2 rassemble sur 500 feuilles 500 notes prises par l'artiste Clôde Coulpier au jour le jour, au gré de discussions, en regardant des films ou en lisant des livres issus de tous les champs du savoir et du non-savoir.

Une longue composition agençant citations, extraits de films, titres et slogans, images et phrases diverses glanées ici et là, le tout passé dans un large mixeur. Le résultat est hybride et englobant : Pur Jus est une éthique, une histoire d'amour, un ouvrage théorique, un roman de SF, une épopée contemporaine et un étrange codex.

Agenda perpétuel réalisé pour célébrer les cinq ans des résidences d'été Summerlake initiées par l'ESAAA en 2011.

Un ensemble de charades imaginées par Alain Séchas, illustrées de dessins inédits.

Construite autour d'un essai de John C. Welchman, cette monographie de référence dévoile, sur près de quarante ans, l'étendue de l'œuvre théorique et plastique de Guillaume Bijl, célèbre notamment pour ses « Installations de Transformation », reproductions scrupuleuses, à l'échelle, de lieux existants – principalement des espaces commerciaux et de « tourisme culturel », dans des musées ou galeries d'art.

Une introduction érudite au mouvement du British Black Art depuis les années 1970 jusqu'à nos jours, proposant une nouvelle analyse d'œuvres canoniques qui interroge leur force critique depuis la perspective de l'histoire de l'art, mettant aussi en lumière l'influence des artistes noirs britanniques sur l'art contemporain actuel.

Une introduction érudite au mouvement du British Black Art depuis les années 1970 jusqu'à nos jours, proposant une nouvelle analyse d'œuvres canoniques qui interroge leur force critique depuis la perspective de l'histoire de l'art, mettant aussi en lumière l'influence des artistes noirs britanniques sur l'art contemporain actuel.

L'historien de l'art T.J. Demos examine les propositions innovantes d'artistes et de militants pour inventer de nouveaux modes de vie associant durabilité écologique, justice climatique et démocratie radicale : une contribution originale à l'intersection de l'histoire de l'art, de l'écologie, de la culture visuelle, de la géographie et de la politique environnementale.