Une vue d'ensemble d'un travail pictural au plus près des choses en même temps qu'une réflexion sur la photographie elle-même : les séries de photographies d'objets réalisées depuis 1989, avec deux essais de Catherine Perret et Eric de Chassey.

Un portrait photographique des alentours de la Ruhrschnellweg.

Un road-trip en mobylette dans le Valais, à la découverte de l'univers surréaliste d'un western sauce helvétique.

Livre d'artiste : une observation des transformations économiques et sociales en République tchèque au cours des vingt dernières années, des modifications des conditions de travail et des relations entre les travailleurs et leurs outils.

Une anthologie de textes consacrés à la problématique de la documentation et de l'exposition d'œuvres d'art basées sur la temporalité : une lecture contemporaine de l'action, de la performance et de leurs extensions sur divers supports.

Livre d'artiste : un essai photographique sur la manière dont les rêves collectifs sont construits au travers de l'architecture post-moderne.

Une compilation d'œuvres des artistes « maison » de Nieves : un aperçu d'une scène émergente fédérée autour d'un projet éditorial singulier.

Livre d'artiste : un reportage photographique au sein des institutions publiques et des lieux symboliques du pouvoir en Italie qui dresse un portrait de l'Etat au travers des bâtiments dans lesquels il s'incarne.

Un film sur une série d'interventions dans l'espace public de Betty Bui, Daniel Buren, Jace, Tadashi Kawamata et Louis Pavageau, accompagné d'un livret documentant un symposium sur l'art et l'espace public organisé par le Séchoir, scène conventionnée de La Réunion.

Une performance autour de l'impuissance et de l'humiliation en public (édition limitée à 30 exemplaires numérotés).

Un livre d'artiste pour rendre compte des activités de l'école fondée par Piero Golia et Eric Wesley à Los Angeles (édition limitée).

Une performance autour d'une image emblématique de la torture à Abou Ghraib (édition limitée à 30 exemplaires numérotés).

Ouvrage présentant une série d'autoportraits inspirés par le vocabulaire expressif du masque. Mettant en scène une multiplicité d'émotions, les photographies sont accompagnées de légendes qui apportent une distanciation et un paradoxe vis-à-vis du portrait.

Edition de tête, limitée à 30 exemplaires, de la monographie de Pierre Molinier en anglais, accompagnée d'une épreuve en couleurs signée de la Poupée de Molinier, photographiée par Philippe Bonan.

Une construction visuelle et sonore entre deux plans fixes sur l'axe d'une rue bordée de bungalows : le carrefour d'une avenue bruyante avec ses camions, ses automobiles ; l'artère centrale d'une ville moyenne nord-américaine ; l'immersion de la caméra dans les flux autoroutiers...

Un plan fixe sur un pont ferroviaire avec un train de banlieue dans un sens puis dans l'autre à partir duquel s'élabore une composition qui évoque le positionnement dans l'espace et le passage du temps.

La caméra explore une zone portuaire et progresse le long de monticules de sable ou de gravier, entre deux plans fixes sur un double pont-levant situé dans un centre ville. Un film sur la juxtaposition des éléments, ce qui les sépare et les rassemble.

La caméra longe la façade d'un entrepôt et marque une pause devant chaque ouverture close produisant ainsi une série de « tableaux » qui scandent des prises de vues sur la ville, son organisation et ses flux.

Une composition sonore, linguistique et visuelle se déploie à partir d'une salle de réunion située dans les hauteurs d'un gratte-ciel du quartier de la Défense à Paris. Un film sur le rapport intérieur/extérieur, l'environnement construit comme milieu naturel pour l'homme.

Trois immeubles lointains au bord d'une vaste étendue d'eau, le plan d'une ville nord américaine, les flux d'une autoroute avec de lointaines collines en arrière-plan, la lente traversée d'un pont suspendu en direction d'un centre d'affaires. Un film sur le passage du temps et le déplacement.

Quelques notes de piano accompagnent des travellings dans des entrepôts de marchandises où la présence humaine se fait discrète. Un film sur l'économie, son organisation et ses lois, le prima de la structure sur ce qui l'anime.

« Duchampiana », les arts incohérents, Dada & Co, l'art minimal, Philippe Lacoue-Labarthe, Christian Marclay...

Monographie de référence : une vue d'ensemble de l'œuvre de l'artiste photographe, organisée par séries, genres et motifs, avec un entretien et un essai inédit.

Un aperçu du processus créatif du duo de designers français, entre travaux de commission, recherche expérimentale et projets architecturaux : dessins et croquis, photographies de studio, d'ateliers, de galeries...

La démarche poétique au cœur du projet d'Alessandro de Francesco consiste à la redéfinition et au dépassement des obstacles discursifs nés de notre propre cognition, du système politico-médiatique et de nos émotions.

Monographie de référence (disponible en édition française).

Offre spéciale pour l'achat des 7 films réalisés par Peter Downsbrough sur DVD en 2010.

12 conversations avec des théoriciens et militants qui explicitent leur engagement critique dans le champ culturel, autour des problématiques des Cultural Studies, du post-colonialisme, de la gauche américaine, de la mondialisation et du militantisme.

150 photographies de l'atelier new-yorkais de Richard Nonas réalisées par l'artiste.

Monographie de référence : une vue d'ensemble du travail à la fois pop et sophistiqué de l'« historian painter » britannique qui mêle histoire personnelle, sociale et politique avec l'histoire de l'art et la culture populaire

Incluant plusieurs nouveaux essais, cette monographie de référence parcourt l'œuvre de Miller en articulant son développement autour de différentes séries, de divers médiums et stratégies esthétiques.

Résultat d'un happening organisé au Mac/Val, cette publication présente les textes lus par un ensemble de poètes sonores de renoms, accompagnée d'un enregistrement produit par Laurent Prexl à partir des aspérités sonores de chacun des récitants.

Ouvrage de référence : monographie en grand format, l'une des rares publications consacrées à l'œuvre du designer français – un travail combinant technologies d'avant-garde et simplicité conceptuelle –, avec un essai d'Elisabeth Lebovici, des notes inédites de Martin Szekely et quelque 200 illustrations (vues d'expositions, détails, dessins, reproduits en pleine page).

Une collection de près d'un millier de polaroids organisés en vitrines, sur le thème de l'architecture moderniste et des paysages entropiques (livre d'artiste en édition limitée).

Cet ouvrage s'inscrit dans la collection « Fiction à l'œuvre », dans laquelle un écrivain est invité à s'emparer d'une œuvre issue du Frac Aquitaine et à l'inscrire au cœur d'un récit. Le texte proposé par la dramaturge Noëlle Renaude s'appuie ici sur un ensemble de travaux de Roman Opalka questionnant la notion de temporalité.

Les cahiers de Salomone rédigés selon un protocole précis. Un travail littéraire inclassable qui prolonge sa production visuelle. Un exemple rare d'écriture qui, associant approche personnelle de l'image et verbalisation de sa plasticité, constitue une dimension spécifique de la production artistique.

Frog fait peau neuve pour son 5e anniversaire, sous la forme d'une somme de 300 pages : vingt-quatre critiques d'expositions, six entretiens, une nouvelle rubrique architecture, une dizaine d'expositions en images, des projets spéciaux d'artistes, et les chroniques.

Catalogue prolongeant une exposition collective conçue par Claire le Restif sur le thème de l'archéologie de la mémoire et du lieu, sous la forme d'une « collection éphémère » de 70 œuvres d'artistes internationaux qui interroge la durée.

Le 4e numéro de May fait un choix atypique en publiant une vaste section de matériaux d'archive provenant de ce qu'on appelle la nébuleuse féministe des années soixante-dix italiennes. Au-delà de leur grande valeur historique, esthétique et littéraire, ces documents participent à la réflexion que poursuit la revue pour reposer les termes d'une critique de la production artistique actuelle en relation avec une critique sociale.

Numéro (double) spécial Dynasty, avec 40 contributions inédites : un panorama de la nouvelle génération d'artistes français à l'honneur dans les espaces du Musée d'Art moderne de la Ville de Paris/ARC et du Palais de Tokyo.

Blexbolex s'est associé à l'artiste allemande Stefanie Schilling pour confectionner 47 masques en papier mâché. Une galerie de monstres, calaveras, démons et animaux... digne d'un cortège de ressuscités pour jour des morts mexicain.

Les planisphères brodés de Boetti, avec un essai de Jean-Christophe Ammann.

Une exploration des relations qu'entretient le langage avec les arts visuels, entre littéralité et métaphore (œuvres de / essais sur Pierre Ardouvin, Art Keller, Julien Audebert, Gérard Collin-Thiébaut, Éric Duyckaerts, Dora García, Mark Geffriaud, Martin Le Chevallier, Claude Lévêque, François Morellet, Christian Robert-Tissot, Charles Sandison, Yann Sérandour, Lawrence Weiner).

Une série de portraits intimistes et mélancoliques, représentatifs du style “plat” (sans horizon ni perspective), coloré et détaillé des dessins de l'artiste américain.

Analyses (“Une brève histoire de l'art sonore” par Rahma Khazam ; “L'Art sonore, un art fortifié” par Bastien Gallet ; “Notes sur Pendulum Music de Steve Reich” par Christophe Gallois ; “Une Forme sans forme” par Mathieu Copeland ; “Le Son dans le cinéma des artistes” par Alexandre Castant, etc.) / “focus” sur Leslie de Philippe Decrauzat, par Matthieu Poirier / monographies (Laurent Montaron, Su-Mei Tse, Georgina Starr, Joachim Schmid) / entretiens (Sébastien Faucon, Kerwin Rolland) / interventions d'artistes (Nicolas Fenouillat, Dominique Petitgand, Jérôme Poret, Samon Takahashi)...

La compilation chronologique des travaux formels de Yona Friedman depuis 1945 (plus de 1700 plans, schémas, dessins, maquettes, photomontages, installations, etc.) : un ouvrage monumental qui permet d'appréhender l'ensemble de l'œuvre de l'un des plus grands artistes-architectes et penseurs de l'urbanisme aujourd'hui, dans ses multiples dimensions (urbaine, économique, écologique, culturelle, sociale et politique).

Un texte manifeste dans lequel Jean-Michel Othoniel revient, en artiste-alchimiste, sur les matériaux au fondement de son œuvre (le soufre, l'obsidienne, le verre).

Un parcours à travers l'histoire du cinéma expérimental (surréalisme, avant-gardes historiques, après-guerre, contemporains), en même temps qu'un prolongement du travail critique du cinéaste qui lie cette histoire singulière aux autres pratiques artistiques.