Dans la continuité de l'exposition Métalangue réalisée à l'ISELP à Bruxelles en 2017, Prose Postérieure aborde le détournement des cadres et des outils de travail au profit de la dissidence de la langue.
Vingt-cinq courriels de Laëtitia Jasserand ont été sélectionnés et mis en forme de livre, suivant la chronologie des deux premières années d'activité du Sprot. À la fois journal de bord d'une professeure délurée et instructions de préparation pour les performances collectives, les compositions gmails dépeignent en creux l'extravagance d'une communauté bruxelloise, la langue et le fessier bien pendus.