Déborah Danowski, καταστροφή : la fin et le commencement /
Stephanie Wakefield, L'Homme de l'Anthropocène (tel que dépeint dans le film Gravity) /
Que signifie “le politique” dans l'Anthropocène ? (une conversation entre Stephanie Wakefield et Antek Walczak) /
Jenna Bliss, Elise Duryee-Browner, Damon Sfetsios, DIY ou DIE : un selfie pastoral /
Deux contes /
Valentin Bouré & Mélanie Matranga, insert : Dustin /
Daniel Horn sur Stewart Uoo /
John Beeson sur Tetsumi Kudo /
Karl Holmqvist sur Lili Reynaud-Dewar /
Édouard Montassut sur Camille Blatrix /
Kerstin Stakemeier sur Anne Imhof /
Karl Holmqvist sur Dorothy Iannone /
Mica Gherghescu sur Dubuffet typographe de Pierre Leguillon /
Jason Simon sur Charles James /
Édition limitée : Neil Beloufa.
Conçue comme un espace collectif où se confrontent des positions sur la production artistique contemporaine, la
revue May examine, une fois par an, pratiques et théories de l'art, ainsi que les stratégies, les contextes ou les problématiques dont elles
procèdent – une critique à l'œuvre aussi bien dans les textes que dans d'autres formes artistiques.
A partir de la
publication d'essais, d'entretiens, d'interventions et de comptes rendus d'exposition réalisés par des artistes, des
écrivains, des théoriciens, la revue a également pour objectif d'interroger l'économie de la production des savoirs – notamment l'espace d'indistinction entre information et publicité caractéristique de notre époque. Ceci implique un
dialogue avec des formes de critique issues d'autres champs.