Benjamin Seror (né en 1979 à Lyon, vit et travaille à Bruxelles) donne à voir le fruit d'une réflexion sur la transmission de l'histoire en questionnant la mise en scène possible de notre mémoire à la fois réelle et fictive. Les histoires qu'il raconte peuvent aussi bien guider le spectateur aux portes de l'enfer qu'à danser toute une nuit au son délicat du
Perfect Kiss de New Order. La
musique occupe une place importante dans les
performances où l'artiste occupe simultanément la place d'auteur, d'interprète et de musicien.
Ses performances ont été présentées dans de nombreuses institutions et manifestations internationales : Stedelijk Museum, Kunstverein Amsterdam, Witte de With, ICA de Philadelphie, Triennale de Vilnius, Théâtre National de Chaillot,
le Plateau / Frac île-de-France, Bétonsalon, Fondation Ricard,
Palais de Tokyo, Paris...
Il a également participé aux expositions collectives « Susan Vérité, des méthodes » au Crac Alsace, « LA Existancial » au LACE, Los Angeles, « An Ever Changing Meaning », Walter Phillips Gallery, Banff /
Cneai, Chatou, « Deep Cuts », Marres, Maastricht, «
Une terrible beauté est née », Biennale de Lyon, « Run Comrade, the old world is behind you », Kunsthall Olso, « Repetition Island » au Centre Georges Pompidou, Paris, « The Clifford Irving show » à Objectif Exhibition, Anvers, « Basket not Basket » à la Galerie Jousse Entreprise, etc.
Avec le groupe CONCERT, il a joué à la Kadist Art Foundation, San Fransisco, à REDCAT, Los Angeles, ou encore Aspen Art Center, New York.