Une pièce pour contre-ténor, perroquets, voix et dead electronics composée au Mexique autour des notions de frontières et de déshumanisation.

Frédéric Acquaviva, en Mozart de la cour d'assises, s'interroge, avec ce seul exemple connu d'art sonore judiciaire, sur la justice et son fonctionnement, mais surtout insiste sur la fragile barrière qui sépare les criminels des honnêtes compositeurs.

Une composition en deux parties qui associe deux dimensions antagonistes et complémentaires : un texte de données lu par l'artiste ORLAN et un orchestre virtuel composé de quatre chanteurs (Loré Lixenberg, Joan La Barbara, Wills Morgan et Jacques Lizène) et de 124 instruments différents.

Une galerie de portraits de personnes en situation d'écoute d'une œuvre de Frédéric Acquaviva en cours d'élaboration, mis en page à la manière d'un flip book.

Un ensemble d'œuvres récentes (peintures à la tempera et pastels sur papier) de Marion Bataillard.

Le nouvel album de Frédéric Acquaviva – une pochette de disque avec QR Code mais sans disque, limité à 100 copies : un opéra de 69 minutes pour voix (avec Joël Hubaut, auteur du texte, Dorothy Iannone et Loré Lixenberg), « dead electronics » et vidéo.

La toute première monographie sur Isidore Isou, qui fait écho aux publications pionnières des Editions du Griffon, est essentiellement consacrée aux œuvres plastiques du créateur du Lettrisme, tout en évoquant ses conceptions novatrices dans la poésie, le cinéma ou le roman. Fruit d'une recherche de quatre années de Frédéric Acquaviva, l'ouvrage contient de nombreuses illustrations inédites, le premier texte de synthèse-analyse de son œuvre plastique, ainsi que la bibliographie la plus complète jamais publiée.

Publication entièrement consacré à l'œuvre musicale de Frédéric Acquaviva : une quarantaine de contributeurs prestigieux (Jean-François Bory, Broutin, Laurent Cauwet, Henri Chopin, Jacques Donguy, Michel Giroud, Bernard Heidsieck, Joël Hubaut, Dorothy Iannone, Otto Muehl, Virgile Novarina, ORLAN, Jean-Luc Parant…) interrogent et rendent hommage à ce créateur singulier à travers des textes poétiques, portraits, dessins, photographies, entretiens, chroniques…

Concerto pour ville et voix composé à partir d'enregistrements réalisés le même jour à Londres et Paris, illuminés par la voix de la mezzo-soprano Loré Lixenberg.

120 partitions-instructions réelles et oxymoresques composées par Frédéric Acquaviva entre 2015 et 2017 à Berlin.

Edition de tête, signée, des 120 partitions-instructions réelles et oxymoresques composées par Frédéric Acquaviva entre 2015 et 2017 à Berlin, accompagné d'une œuvre originale et d'un CD contenant la pièce sonore « Oxymoron Music ».

DVD comprenant les enregistrements vidéo de deux performances musicales de Frédéric Acquaviva, en version française et anglaise, réalisées à l'Elektron Musik Studion de Stockholm (EMS) et à La Plaque tournante à Berlin.

Une pièce pour mezzo, voix et synthétiseur Buchla, enregistrée avec la mezzo-soprano Loré Lixenberg (pochette vinyle avec à l'intérieur un CD).

Un double vinyle vide (pochette sans disques) avec QR-Code, sérigraphié et édité à 100 exemplaires, renvoyant à une composition pour voix d'ordinateur d'une durée de 4h 55mn, à écouter en ligne : un approfondissement de l'idée d'un disque dématérialisé.

Le premier QR-Code EP, édité à 100 exemplaires, enregistré à EMS, Stockholm, en décembre 2015, avec les voix de Frédéric Acquaviva et Loré Lixenberg.

Une pièce musicale (6 x 27') pour voix et électroniques interprétée par Loré Lixenberg, mezzo soprano, et Frédéric Acquaviva (« dead electronics »).

Une pièce pour mezzo-soprano, voix, ensemble instrumental, electronique et vidéo (le DVD, sans son, peut être synchonisé avec la musique sur CD).

Première pièce conceptuelle de Frédéric Acquaviva, datant de 1990 : l'enregistrement de l'ensemble des harmoniques produites au moyen d'un simple (et subtil) coup sur la pédale de résonance du piano conduit par le pianiste australien Mark Knoop.