« Il était une fois, un roi qui perdit son chien. Il vint à l'atelier de Léonard et il acheta une toile. Et sortant de la maison, le tableau sous le bras il aperçut soudain son chien qui se mit à aboyer. Le roi pensa que le chien manifestait sa joie parce qu'il avait retrouvé son maître. Mais celui-ci aboyait pour exprimer son admiration devant la beauté universelle de l'œuvre de Léonard de Vinci car il ne pouvait en dire d'avantage... »
Histoire racontée par Braco Dimitrijevic (Des Arts, n°5, décembre-janvier 1987, page 102).