Le deuxième numéro de la revue annuelle consacrée à l'architecture, à la scénographie et au design, entre nostalgie rétro et innovations avant-gardistes
Une pièce sensible avec laquelle la pionnière de l'art radiophonique et de la composition à partir d'enregistrements de terrain Brunhild Ferrari revisite et recompose ses impressions du passé et ses réminiscences sensorielles.
Tutti Frutti est une riche collection de pièces acousmatiques couvrant une grande partie de la longue carrière d'Annette Vande Gorne, de 1983 à 2020, témoignant à la fois de la variété des approches et de la constance des choix de la compositrice.
Quinze pièces de Jason Kahn, basées sur des enregistrements de terrain réalisés lors d'une résidence artistique à Taïwan en 2023, composées à Zurich en 2025.
L'altro Hotel du chorégraphe Michele Di Stefano rassemble, de manière ludique et rigoureuse, des fragments d'une vaste collection de mémos vocaux qu'il a recueillis dans le monde entier, sous la forme d'un catalogue de sons localisés, de moments précis d'expérience personnelle.
Les presses du réel – Musique & arts sonores – L'écart absolu
Le grand livre posthume et définitif édité par Ornella Volta sur Erik Satie, rassemblant l'ensemble des écrits du compositeur, une documentation en grande partie inédite et des éléments biographiques, pour la première fois mis en relation de manière précise avec les œuvres.
Ce recueil regroupe des textes théoriques et des contributions artistiques
autour du son pensé comme interstice. Ce questionnement est abordé à
travers les prismes du format, du langage, du politique, ou encore des nouvelles technologies.
Céline Guichard ; Dalia Taha ; sur l'autodidactisme en musique, par Fanny Chiarello ; vers une écoute interculturelle, une conversation entre Kristoff K. Roll et le collectif mexicain La Lleca ; entretiens avec Alexandra Spence et Ayami Suzuki ; Bruits à Pompidou : conversation entre Marion Camy-Palou, Kasper T. Toeplitz et Nicolas Ballet ; créer dans la précarité psychique, par Aude Romary ; les chroniques de livres et de disques...
Entretiens avec Dan Ploeger, Derek Curry & Jennifer Gradecki, Liz Pelly, Barnaby Francis & Bill Posters ; Poetic Terrorism & Brand Sabotage ; compte-rendus : xCoAx 2024, Konton-ni-Ai!, 7th International Digital Art Biennal...
Le piano d'Andrzej Karałow se métamorphose dans les rouages du magnétophone de Jérôme Noetinger, se multiplie et joue avec son miroir déformé, dans un voyage à travers des paysages imaginaires hantés par une présence fantomatique.
Le cinquième volume de la publication annuelle consacrée à l'expérimentation sonore et musicale, coéditée par Shelter Press et l'Ina GRM – Groupe de Recherches Musicales, sur le thème de la diffusion (avec François J. Bonnet, Marja Ahti, Scott Arford, Nicolas Debade, Michael Gatt, Tim Ingold, Rolf Julius, Jules Négrier, John Richards, Marina Rosenfeld, Hildegard Westerkamp, Randy Yau...).
La composition « L'Makina » de Gilles Aubry est un paysage sonore fascinant qui combine des textures sonores générées par l'IA avec des synthés modulaires. Structurée en deux parties, la pièce explore les possibilités spectrales d'un modèle sonore virtuel développé à l'aide d'un algorithme d'apprentissage automatique, en collaboration avec les musiciens marocains Ali Faiq et Idr Basrou.
Jérôme Game, un poète travaillant à l'intersection des mots, des sons, et des images, invite pour ce disque de poésie sonore deux de ses partenaires de scène, Chloé et Jean-Michel Espitallier, à créer chacun.e une pièce en duo avec lui, entre inspiration beat, motorick krautrock et glitch littéraire.
Andrew Pekler reprend son exploration des zones humides exotiques avec 12 pistes alternant entre longues compositions immersives et courtes esquisses, et de nouvelles combinaisons de sa palette sonore familière : enregistrements de terrain, textures électroniques chaudes et ondoyantes, motifs rythmiques changeants et éléments mélodies sereins.
Un moment en territoire oiseau : une pièce musicale créée en direct dans une volière aménagée avec des instruments de musique, dans laquelle le visiteur est invité à demeurer en compagnie d'une soixantaine de pinsons australiens vivants, sautillant tranquillement (et harmonieusement) sur 12 guitares électriques accordées devenues perchoirs.
Le deuxième album de l'Ensemble Nist-Nah, fondé par le batteur / percussionniste australien Will Guthrie basé à Nantes, 48 minutes de musique totalement électrisante pour gamelan, batteries, percussions en bois et en métal, et cordes pincées.
Le deuxième album de l'Ensemble Nist-Nah, fondé par le batteur / percussionniste australien Will Guthrie basé à Nantes, 48 minutes de musique totalement électrisante pour gamelan, batteries, percussions en bois et en métal, et cordes pincées.
Un voyage percussif improbable mais exaltant à travers les paysages tropicaux imaginaires des deux collectifs de Tenerife et de Kampala, entre traditions africaines et psychédélisme canarien.
Gonçalo F. Cardoso, chef de file du label Discrepant, poursuit ses explorations de l'insularité sous forme de carnets de voyage audio oniriques avec des impressions sonores de trois archipels de Macaronésie, Cap-Vert, Açores et Canaries.
Le premier album de Robert Millis pour le label Discrepant explore ses obsessions pour les sons cachés, les anomalies et les accidents sonores, revendiquant les influences tout à la fois de Steve Roden, de Toshiya Tsunoda, d'Éliane Radigue, de Pierre Schaeffer et de la musique classique indienne.
« Copia », le premier album depuis sept ans de l'artiste alchimiste de la musique populaire Vicki Bennet, porte le collage, l'échantillonnage et le détournement sonores à un niveau existentiel.
L'artiste et performeuse genderqueer Vaginal Davis offre un aperçu de quatre décennies de pratique collaborative de la musique au sein de groupes art punk à Los Angeles et à Berlin.
Un double CD avec Suite blanche, une composition concrète de Anouck Genthon (violon, tournages sonores) et Lionel Marchetti (synthétiseurs, électroacoustique, tournages sonores), et Angelica, un concert du duo.
La généalogie de l'installation aquatique, immersive et multisensorielle développée en plus de vingt versions sur une trentaine d'années par Céleste Boursier-Mougenot.
Bill Evans / Scott LaFaro / Paul Motian (1959-1961) : l'histoire de l'un des trios les plus originaux, fulgurants et influents de l'histoire du jazz, et de l'enregistrement de trois
disques légendaires.
Un portfolio de 15 partitions graphiques (imprimées sur différents types de papier) du musicien, artiste, compositeur et artiste sonore Alan Courtis, en édition limitée à 40 exemplaires numérotés.
Le Signe – Centre National du Graphisme - Catalogues
Le catalogue de la cinquième édition de la Biennale internationale de design graphique, organisé par le Signe, centre national du graphisme, en 2025, sur le thème de la musique.
Deux pièces récentes de la légendaire compositrice expérimentale d'origine néo-zélandaise et pionnière de l'art sonore Annea Lockwood, en collaboration avec Pedro Rebelo, Georgios Varoutsos et Vanessa Tomlinson.
Un rare album solo du mystérieux compositeur, producteur, artiste et constructeur d'instruments berlinois Konrad Sprenger, collaborateur de Arnold Dreyblatt, Ellen Fullman, Phillip Sollmann et Oren Ambarchi.
La bande originale du premier long métrage d'animation de l'artiste suisse Yves Netzhammer, composée par Anthony Pateras : 29 pièces enregistrées avec de nombreux musiciens internationaux invités, basées sur des « mélodies folkloriques étranges ornées d'électro-acoustique ».
Errant Sound Reader rassemble des essais, des entretiens et une vaste documentation sur les projets réalisés dans le cadre du dynamique programme d'art sonore de l'artist-run space berlinois Errant Sound depuis 2014.
Une pièce inédite, monumentale et époustouflante composée par Bernard Parmegiani en 1992, initialement pour l'œuvre composite « Lac Noir » du cinéaste Emmanuel Raquin-Lorenzi, offrant un accès privilégié à une période aussi importante que méconnue de la carrière de Parmegiani.
Une pièce inédite, monumentale et époustouflante composée par Bernard Parmegiani en 1992, initialement pour l'œuvre composite « Lac Noir » du cinéaste Emmanuel Raquin-Lorenzi, offrant un accès privilégié à une période aussi importante que méconnue de la carrière de Parmegiani.