fermeture & interruption des expéditions du 23 décembre au 3 janvier (les commandes passées dans l'intervalle seront traitées en priorité dès notre retour) – merci pour votre patience et bonne fin d'année !
Un ensemble de propositions viables pour en finir avec le travail, avec la subordination au travail – et à la productivité – de l'ensemble des dimensions de la vie, avec l'instrumentalisation de la totalité de nos heures d'éveil, auxquelles nous acquiesçons en dépit de l'instabilité économique, de l'aggravation des écarts de rémunération entre pays, de la généralisation du modèle d'une force de travail flexible et sous-payée, etc.
Living Labor considers the increasing subordination of life to work. Despite economic instability, growing income gaps across countries and the rise of a migratory, flexible and underpaid labor force, our commitment to productivity is unflagging. Today, work enlists us to psychologically invest ourselves in a boundaryless work life, which seeks to instrumentalize all of our waking hours. In response to the eroding boundaries between work and life, and against the historic backdrop of the Scandinavian labor movement, the writers gathered in Living Labor propose viable forms of refusal and imagine prospects for a post-work future.
Edité par Milena Hoegsberg et Cora Fisher.
Contributions de Will Bradley, Julia Bryan-Wilson, Carl Cedarström & Peter Fleming, Annette Kamp, Michala Paludan, Olivia Plender & Hester Reeve, Ole Martin Rønning, Kathi Weeks.
